Le mois de mai a été marqué, pour ma part, par le début de l’enquête de terrain. Après avoir passé deux mois à réaliser un travail bibliographique afin d’identifier dans quelle mesure la pédagogie de projet collaborative permettait, en principe, de rendre les enfants acteurs de leurs apprentissages et, par suite, de prévenir le décrochage scolaire, il est temps maintenant de confronter ces données théoriques à la pratique !

Si je devais résumer ce mois de mai en un seul mot : rassurant. Les interactions avec le monde associatif sont toujours aussi enrichissantes, et les problèmes plus terre à terre que je rencontrais au début de mon stage trouvent des solutions petit à petit.

Cela fait trois mois déjà depuis que je suis arrivé aux Petites Cantines dans le cadre de mon stage de fin d’étude de M2 ville et environnements urbains.
Le stage a commencé le 19 février 2018. Il faisait encore froid mais avec la chaleur et l’ambiance quotidienne au sein des Petites Cantines, je me sentais très confortable pour débuter mon immersion professionnelle.

Comme énoncé le mois précédent, j’ai mis en place un café-discute sur le quartier de Tony Garnier. J’ai donc animé mon premier café-discute (photo ci jointe). Les habitants sont venus nombreux à cet évènement. Ils ont partagé leur quotidien dans le quartier dans un cadre chaleureux autour d’un café.

Cela fait à présent six semaines que j’ai commencé mon stage à la Confédération Nationale du Logement (CNL). En effet, personnellement, intégrer cette structure c’était facile grâce à l’équipe avec laquelle je travaille. La première semaine était une semaine de découverte, d’observation de loin, d’échange avec les membres du bureau, réception parfois des appels téléphoniques, écoute des demandes des habitants et les orienter vers la permanence la proche de chez eux.

Le Grand Lyon détient deux incinérateurs (celui de Gerland est géré en régie tandis que celui de Rillieux-la-Pape en délégation de service public). A eux deux, ils ont traité près de 396 000 tonnes de déchets en 2016.

Les semaines se sont succédées permettant ainsi de préciser peu à peu l’objet de recherche et les axes qui constitueront plus tard une problématique.

Il est neuf heures et demie, au 37 rue Saint Pierre de Vaise. C’est le moment de l’arrivée des personnes participantes à l’atelier cuisine qui sont appelées convives.

Cela fait maintenant un peu plus de deux mois que j’ai commencé ma mission de stage au sein du Lobster, cluster du secteur des musiques actuelles sur la métropole de Lyon. Cette mission visant principalement à la mise en place d’un outil d’évaluation de l’impact du cluster sur ses adhérents, le Lobster a dans ce cadre préféré retenir un étudiant provenant d'une formation économique, afin d’apporter une vision différente et novatrice dans un milieu parfois un peu reclus sur lui-même.

Voilà deux mois que mon stage au sein de l’OCCE a débuté. Le temps passe bien vite ! Mais cette immersion quotidienne au sein de l’association me donne l’impression d’y être depuis bien plus longtemps.

Cela fait maintenant presque deux mois que j’ai commencé ma mission de stage au sein du centre socio-culturel l’Equipage à Chazelles-sur-Lyon. Ce début de première expérience professionnelle satisfait toutes mes attentes. J’ai eu l’occasion de mettre en pratique mes compétences en matière de géographie, études socio-économiques ou encore de cartographie. J’ai ainsi eu l’occasion de travailler sur un diagnostic territorial dans la région de Chazelles-sur-Lyon à travers différentes études cartographiques.

L’approche de cette étude concernant l’incinération des déchets du Grand Lyon se veut être globale. En effet nous remarquons dans cette thématique que plusieurs enjeux, qu’ils soient techniques, économiques, sociaux, politiques ou environnementaux subsistent dans les décisions politiques de gestion des déchets, à l’échelle d’une Métropole comme celle du Grand Lyon.

Mon terrain de stage est le Centre Social Bonnefoi (CSB). Situé dans le troisième arrondissement de Lyon, le Centre Social Bonnefoi veut être un lien entre les techniciens des pouvoirs publics et les habitants du quartier Moncey, près de la Guillotière.

Déjà deux mois de stage derrière moi, on m’avait dit et redit « ça va passer vite », et bien c’est vrai.

Quelques jours encore puis mon stage prendra fin. Quelle chance d’avoir pu m’enrichir de toutes ces connaissances sur l’animation, la pédagogie, l’associatif ou la psychologie-sociale. Une période aussi très riche en rencontres et échanges.

Cela fait maintenant 6 mois que je vis dans ce beau département qu’est l’Ain et il est désormais temps pour moi de quitter cette région afin de retourner à l’agitation de la vie parisienne.

" Usages des outils numériques par les personnes en difficultés avec l'écrit " ....Observer et lire différemment ce terrain, m'a permis de creuser d'autres compréhensions possibles de mon sujet, et d'en définir les limites respectives...

Après avoir observé les expérimentatrices d’Eco-Attitude avec leurs groupes, j’avais moi aussi eu envie de passer à l’action, de me confronter au réel.

Le mois de Juin s’achève et commence alors le dernier mois de mon étude qui sera consacré, entre autres, à la collecte des dernières informations nécessaires à la rédaction de mon rapport de stage.

Le mois de juin marque la fin du travail de terrain, et le début de la mise en écriture de la recherche.

Le mois de mai, un mois à trous avec les jours fériés et pourtant il faut avancer ! La note de méthodologie est une étape cruciale et combien nécessaire pour avancer dans le bon sens. Merci à mon référent universitaire qui me guide dans la démarche de recherche en sociologie-anthropologie.

Ce mot polysémique rend bien compte de ce stage !

Troisième mois de l'étude autour des usages des outils numériques par les personnes en difficulté avec l'écrit. L'étude est toujours en cours et les échéances des premiers projets de communication se rapprochent à grands pas...

Enjeu de thérapeute, enjeu d’étudiante en recherche socio-anthropologique.

Le mois de Mai fut riche en jours fériés et j’ai la nette impression qu’il est passé aussi vite qu’une fusée.

Devant le manque de législation concernant l'épendage de pesticides à proximité d'habitations, citoyens, élus et associations décident d'agir selon le principe de précaution.

Le mois de mai a été riche en découvertes et en rencontres.

Au deuxième mois de stage sur le projet intitulé "Cartographie des usages actuels des outils numériques par les personnes en difficulté avec l'écrit", les premiers contacts sont pris, on commence à voir du paysage...

Tout comme de nombreuses autres affaires sanitaires ou environnementales qui ont contribuées à faire advenir la notion de « risque » (Sida, amiante, nucléaire, etc), le dossier des pesticides est particulièrement complexe car il engage une diversité de protagonistes, de compétences mobilisées et d’ « arènes » par lesquelles elles transitent (politique, administrative, médiatique, associative, etc.).

Le mois d’avril est l’occasion de finaliser le guide d’entretien, de le tester et de le valider. Une étape importante, qui occasionne de belles rencontres.

A l’issue de ces deux premiers mois de stage, principalement consacrés à de la recherche bibliographique, j’ai eu l’occasion de me présenter aux membres du Syndicat mixte pour l’aménagement et l’équipement de l’Ile Chambod lors d’une réunion de Conseil d’Administration.

C’est un beau week-end d’avril. Quatre personnes le passent en stage de thérapie biodynamique avec le cheval, avec la thérapeute, son assistante, et moi. Le samedi, en fin d’après-midi, il y a eu une séance de « rêve éveillé » dans le manège...

Premier jour de stage : en route vers Montbrison au centre équestre pour retrouver Dominique, la thérapeute et Alexia, ma co-chercheuse. À moi le grand air, la verdure, les chevaux et les prés !

Avoir une vision théorique globale d’Eco-Attitude c’était un bon début mais en parler en direct avec ces acteurs c’est encore mieux. C’est ainsi que j’ai débuté mon enquête de terrain auprès des CPIE du réseau.

La principale occupation du mois de mars a consisté à définir la méthodologie pour choisir les personnes à enquêter. Plusieurs étapes ont été nécessaires.

Un mois après le début du projet intitulé "Cartographie des usages actuels du numérique par les personnes en difficulté avec l'écrit", j'intègre ce stage en binôme, avec Bernadette Bonnefond.

Le temps file, comme toujours, le nez plongé dans les archives de l’association depuis plusieurs semaines je commence à avoir une vision d’ensemble des métiers de l'éducation à l’environnement (EEDD) tel qu’ils ont évolués et sont vécus dans cette association.

A la fin du mois mars, le beau temps et l’arrivée du printemps présagent le retour des activités de plein air.

« Elle étudie le cheval mais elle fait pas de cheval »
Cette petite phrase lancée sur un ton taquin par un artisan intervenant au centre équestre, entendue du coin de l’oreille, à première vue anodine, est en fait très intrigante.

Un mois après vous avoir quitté sur ces quelques interrogations, je commence à y voir plus clair concernant l’élodée de nuttall : ses voies d’introduction et de propagation au sein de l’écosystème, les problèmes qu’elle peut causer au milieu aquatique et aux activités humaines, ainsi que les difficultés liées à sa gestion.

Quels sont les effets délétères des produits phytosanitaires dispersés dans l’air ?

Toucher, palper, effleurer, presser, caresser, triturer. Dans la relation thérapeutique avec le cheval, l’une des interfaces possible et valorisée est la peau, et ce que l’on en fait

Bientôt loin derrière moi le temps des modules théoriques d’écologie de conservation et de restauration de la biodiversité, cela fait maintenant trois semaines que j’ai rejoint les rangs de l’Association de Gestion des Espaces Karstiques (AGEK) afin de mettre mes acquis en pratique dans le but de lutter contre la prolifération d’une plante aquatique invasive : l’élodée de nuttall (Elodea nuttallii).

Depuis le début du mois me voilà plongée dans un autre univers, celui du numérique et des personnes en difficulté avec l’écrit. Il s’agit bien d’un univers tellement le cadre est large et contient une innombrable quantité de données.

Ca y est, les partiels sont derrière moi et je peux me lancer pleinement dans mon stage qui va durer 6 mois à l’Union Régionale des Centres Permanents d’Initiatives pour l’Environnement (URCPIE).