Cela fait maintenant 6 mois que je vis dans ce beau département qu’est l’Ain et il est désormais temps pour moi de quitter cette région afin de retourner à l’agitation de la vie parisienne.

Le mois de Juin s’achève et commence alors le dernier mois de mon étude qui sera consacré, entre autres, à la collecte des dernières informations nécessaires à la rédaction de mon rapport de stage.

Le mois de Mai fut riche en jours fériés et j’ai la nette impression qu’il est passé aussi vite qu’une fusée.

A l’issue de ces deux premiers mois de stage, principalement consacrés à de la recherche bibliographique, j’ai eu l’occasion de me présenter aux membres du Syndicat mixte pour l’aménagement et l’équipement de l’Ile Chambod lors d’une réunion de Conseil d’Administration.

Un mois après vous avoir quitté sur ces quelques interrogations, je commence à y voir plus clair concernant l’élodée de nuttall : ses voies d’introduction et de propagation au sein de l’écosystème, les problèmes qu’elle peut causer au milieu aquatique et aux activités humaines, ainsi que les difficultés liées à sa gestion.

Bientôt loin derrière moi le temps des modules théoriques d’écologie de conservation et de restauration de la biodiversité, cela fait maintenant trois semaines que j’ai rejoint les rangs de l’Association de Gestion des Espaces Karstiques (AGEK) afin de mettre mes acquis en pratique dans le but de lutter contre la prolifération d’une plante aquatique invasive : l’élodée de nuttall (Elodea nuttallii).