De nombreuses études ont été faites dans les pays anglo-saxons sur le « syndrome de déficit de nature », mais aucune en France. L’étudiant-e sera ainsi amené-e à étudier les bienfaits physiques, mentaux et sociaux du contact avec la nature. Une comparaison avec les pays anglo-saxons pourra être effectuée en remettant en perspective avec le contexte culturel français. En particulier, le stagiaire travaillera sur une comparaison entre les activités avec accès à la nature et celles sans accès à la nature. L’étudiant-e sera amené-e à aller sur le terrain ou à la rencontre des différents acteurs (milieu urbain, rural, montagne) pour percevoir les spécificités de chaque territoire sur cet enjeu du contact avec la nature. Les résultats de l’étude feront l’objet d’une publication sur ce thème qui pourrait intéresser non seulement les acteurs de l’éducation à l’environnement à l’échelle nationale, mais aussi les acteurs de la promotion de la santé.