Plusieurs étapes ont jalonné ces premiers jours :

• Une rencontre animée par la BDS entre les 3 commanditaires, l’Agence nationale de lutte contre l’illettrisme (Anlci), Open Arms et Ecritures plurielles, et les 2 étudiants qui vont travailler sur cette même recherche avec des approches complémentaires, l’un en géographie urbaine l’autre en Socio-anthropologie appliquées au développement local, pour un premier calage pratique et une première présentation des attentes des 3 partenaires demandeurs.
• Une rencontre à l’initiative de la BDS dans l’objectif de préciser le rôle de la BDS et de faire se rencontrer tous les étudiants stagiaires de la BDS de cette année universitaire, tous les commanditaires et impulser une dynamique et d’éventuels contacts. Un cocktail a déjà permis de créer quelques liens.
• La programmation de rendez-vous sur le terrain avec chacun des 3 partenaires
• Une plongée dans la bibliographie via une plateforme collaborative et les bibliothèques universitaires, une profusion d’écrits parmi lesquels des choix s’imposent !
• La mise en place d’outils personnels pour emmagasiner tous ces nouveaux savoirs

Peu à peu le plan de recherche va être structuré et, les enquêtes se construire, les prochaines étapes sont en cours de planification.
Je suis allée dans l’une des associations, Ecriture plurielle, qui est en lien direct avec les personnes qui rencontrent des difficultés avec l’écrit et l’usage du numérique. Ce contact avec le terrain m’a permis de sentir que le livre s’adapte à l’invasion du numérique