Un temps de « cadrage scientifique » dans le domaine de la sociologie. Il s’agit de mettre autour de la table de discussion le référent universitaire, le maître de stage et les trois commanditaires de l’étude afin de se mettre d’accord sur des points essentiels relatifs à la conduite de la recherche. Ainsi, le public étant mieux défini nous avons pu travailler à la méthodologie pour entrer en contact avec les personnes qui répondront à notre questionnaire.
Nous avons multiplié les prises de contacts sur le terrain pour rencontrer différents acteurs intervenant auprès des personnes en difficulté avec l’écrit afin de mieux cerner leurs enjeux et objectifs ainsi que leurs éventuelles complémentarités. La phase exploratoire se termine sur Pierre Bénite et avance sur les deux autres territoires. Dans l’Ain et dans la Loire, l’ANLCI nous donne l’opportunité de nous appuyer sur des dispositifs, l’un dans le champ de l’insertion et l’autre dans celui de la formation pour atteindre le public ciblé.
Le mois d’avril sera consacré à l’enquête, la construire, la valider puis, aller à la rencontre des personnes.
Et, puisque nous travaillons sur l’usage du numérique, j’ai découvert, à la Cité du Design à Saint Etienne, un nouveau clavier fait d’ « emojis » accompagné du commentaire mentionné ci-après. Ne nous invite-t-il pas à de nouvelles modalités de communication ?
« Les « emojis » sont géniaux, ils t’aident à avoir l’air cool ». Crées au Japon en 1989 et, s’enrchissant chaque année, les emojis sont devenus la langue véhiculaire de l’économie du «like» : par exemple, celle des professionnels de la recommandation qui hantent les réseaux sociaux aussi bien que les plateformes liées au tourisme ou à la consommation »Par Bernadette Bonnefond .